CP ou pas ?
Roulera ou roulera pas ? Là est la question qui agite le milieu du cross français depuis quelques temps, pour ne pas dire qu’elle le partage… Il y a les pour. Et les contre. A peu près en nombre égal. Certains se réjouissent de l’idée de voir un ancien champion du Monde MX2 et double champion des Etats-Unis de Supercross venir jouter contre ses compatriotes français sur le prochain 24MX Tour après plusieurs années d’exil de l’autre côté de l’Atlantique. Notamment parce que le garçon étale sur la moto un style à la fluidité et la souplesse bluffantes. Et d’autres n’en ont que faire, estimant que le garçon, retiré des affaires depuis deux ans maintenant, ne jouit plus d’une grande crédibilité sportive. Que sa personnalité atypique, énigmatique surtout, n’en a jamais fait une figure du milieu et que son absence ne nuit pas au paysage. Et puis, il y a les autres. Ceux qui craignent que sa venue puisse mettre à mal la règle actuelle qui veut qu’aucune prime de départ ne soit versée aux pilotes de l’Elite (ndr, rappelons que l’année dernière, les pointures de l’Elite avait fait entendre leur mécontentement lorsque la venue de Bobryshev avait été évoquée sur l’épreuve de Castelnau de Levis).
Car là est l’autre question induite par le retour du monsieur. S’il revient, comme il ne cesse de le suggérer sur son Instagram, le fera-t-il pour la beauté du sport ? Auquel cas il pourrait se contenter des primes d’arrivée. Ou pour gagner quelques sous ? Ce qui laisse penser qu’il demandera aux clubs une contribution exceptionnelle, une hypothèse qui ne devrait guère séduire la Fédération Française de Moto, laquelle explique depuis des années que les épreuves de l’Elite atteignent péniblement l’équilibre financier ce qui explique la stagnation des primes d’arrivée.
Bref, encore une fois, vous l’aurez compris, le cas de Christophe Pourcel, puisque c’est de lui dont on cause, fait grand bruit dans la sphère crossiste. Reviendra, reviendra pas ? La réponse est entre ses mains.
CP ou pas ?
Roulera ou roulera pas ? Là est la question qui agite le milieu du cross français depuis quelques temps, pour ne pas dire qu’elle le partage… Il y a les pour. Et les contre. A peu près en nombre égal. Certains se réjouissent de l’idée de voir un ancien champion du Monde MX2 et double champion des Etats-Unis de Supercross venir jouter contre ses compatriotes français sur le prochain 24MX Tour après plusieurs années d’exil de l’autre côté de l’Atlantique. Notamment parce que le garçon étale sur la moto un style à la fluidité et la souplesse bluffantes. Et d’autres n’en ont que faire, estimant que le garçon, retiré des affaires depuis deux ans maintenant, ne jouit plus d’une grande crédibilité sportive. Que sa personnalité atypique, énigmatique surtout, n’en a jamais fait une figure du milieu et que son absence ne nuit pas au paysage. Et puis, il y a les autres. Ceux qui craignent que sa venue puisse mettre à mal la règle actuelle qui veut qu’aucune prime de départ ne soit versée aux pilotes de l’Elite (ndr, rappelons que l’année dernière, les pointures de l’Elite avait fait entendre leur mécontentement lorsque la venue de Bobryshev avait été évoquée sur l’épreuve de Castelnau de Levis).
Car là est l’autre question induite par le retour du monsieur. S’il revient, comme il ne cesse de le suggérer sur son Instagram, le fera-t-il pour la beauté du sport ? Auquel cas il pourrait se contenter des primes d’arrivée. Ou pour gagner quelques sous ? Ce qui laisse penser qu’il demandera aux clubs une contribution exceptionnelle, une hypothèse qui ne devrait guère séduire la Fédération Française de Moto, laquelle explique depuis des années que les épreuves de l’Elite atteignent péniblement l’équilibre financier ce qui explique la stagnation des primes d’arrivée.
Bref, encore une fois, vous l’aurez compris, le cas de Christophe Pourcel, puisque c’est de lui dont on cause, fait grand bruit dans la sphère crossiste. Reviendra, reviendra pas ? La réponse est entre ses mains.
CP ou pas ?
Roulera ou roulera pas ? Là est la question qui agite le milieu du cross français depuis quelques temps, pour ne pas dire qu’elle le partage… Il y a les pour. Et les contre. A peu près en nombre égal. Certains se réjouissent de l’idée de voir un ancien champion du Monde MX2 et double champion des Etats-Unis de Supercross venir jouter contre ses compatriotes français sur le prochain 24MX Tour après plusieurs années d’exil de l’autre côté de l’Atlantique. Notamment parce que le garçon étale sur la moto un style à la fluidité et la souplesse bluffantes. Et d’autres n’en ont que faire, estimant que le garçon, retiré des affaires depuis deux ans maintenant, ne jouit plus d’une grande crédibilité sportive. Que sa personnalité atypique, énigmatique surtout, n’en a jamais fait une figure du milieu et que son absence ne nuit pas au paysage. Et puis, il y a les autres. Ceux qui craignent que sa venue puisse mettre à mal la règle actuelle qui veut qu’aucune prime de départ ne soit versée aux pilotes de l’Elite (ndr, rappelons que l’année dernière, les pointures de l’Elite avait fait entendre leur mécontentement lorsque la venue de Bobryshev avait été évoquée sur l’épreuve de Castelnau de Levis).
Car là est l’autre question induite par le retour du monsieur. S’il revient, comme il ne cesse de le suggérer sur son Instagram, le fera-t-il pour la beauté du sport ? Auquel cas il pourrait se contenter des primes d’arrivée. Ou pour gagner quelques sous ? Ce qui laisse penser qu’il demandera aux clubs une contribution exceptionnelle, une hypothèse qui ne devrait guère séduire la Fédération Française de Moto, laquelle explique depuis des années que les épreuves de l’Elite atteignent péniblement l’équilibre financier ce qui explique la stagnation des primes d’arrivée.
Bref, encore une fois, vous l’aurez compris, le cas de Christophe Pourcel, puisque c’est de lui dont on cause, fait grand bruit dans la sphère crossiste. Reviendra, reviendra pas ? La réponse est entre ses mains.
CP ou pas ?
Roulera ou roulera pas ? Là est la question qui agite le milieu du cross français depuis quelques temps, pour ne pas dire qu’elle le partage… Il y a les pour. Et les contre. A peu près en nombre égal. Certains se réjouissent de l’idée de voir un ancien champion du Monde MX2 et double champion des Etats-Unis de Supercross venir jouter contre ses compatriotes français sur le prochain 24MX Tour après plusieurs années d’exil de l’autre côté de l’Atlantique. Notamment parce que le garçon étale sur la moto un style à la fluidité et la souplesse bluffantes. Et d’autres n’en ont que faire, estimant que le garçon, retiré des affaires depuis deux ans maintenant, ne jouit plus d’une grande crédibilité sportive. Que sa personnalité atypique, énigmatique surtout, n’en a jamais fait une figure du milieu et que son absence ne nuit pas au paysage. Et puis, il y a les autres. Ceux qui craignent que sa venue puisse mettre à mal la règle actuelle qui veut qu’aucune prime de départ ne soit versée aux pilotes de l’Elite (ndr, rappelons que l’année dernière, les pointures de l’Elite avait fait entendre leur mécontentement lorsque la venue de Bobryshev avait été évoquée sur l’épreuve de Castelnau de Levis).
Car là est l’autre question induite par le retour du monsieur. S’il revient, comme il ne cesse de le suggérer sur son Instagram, le fera-t-il pour la beauté du sport ? Auquel cas il pourrait se contenter des primes d’arrivée. Ou pour gagner quelques sous ? Ce qui laisse penser qu’il demandera aux clubs une contribution exceptionnelle, une hypothèse qui ne devrait guère séduire la Fédération Française de Moto, laquelle explique depuis des années que les épreuves de l’Elite atteignent péniblement l’équilibre financier ce qui explique la stagnation des primes d’arrivée.
Bref, encore une fois, vous l’aurez compris, le cas de Christophe Pourcel, puisque c’est de lui dont on cause, fait grand bruit dans la sphère crossiste. Reviendra, reviendra pas ? La réponse est entre ses mains.